Chapitre des frères, le marathon a commencé

Du 20 au 23 octobre s’est déroulée la première session du Chapitre de la Province lasallienne France et Europe francophone. Un Chapitre tient plus du marathon que du sprint. Il faut donner du temps au discernement collectif qui doit aboutir à des décisions pour les 4 années à venir, ou à plus long terme.

Rassemblement des Fraternités 2025 : Être prophètes d’espérance

« L’avenir est entre les mains de ceux qui auront su donner aux générations de demain des raisons de vivre et d’espérer. » (Gaudium et Spes) Sous cette invitation à la confiance et à la responsabilité, près de 300 participants venus de toute la France, mais aussi d’Espagne, du Liban, de Belgique et de Grèce, se sont retrouvés du 18 au 20 octobre 2025 à La Salle Saint-Nicolas à Issy-les-Moulineaux (92) pour le Rassemblement des fraternités sur le thème : « Être prophètes d’espérance ». Jour 1 – La mission partagée, un chemin d’espérance La première journée a été ouverte par le frère Joël Palud, conseiller général auprès du frère supérieur à Rome, qui a invité chacun à réfléchir sur la mission partagée et l’association entre frères et laïcs. Deux réalités différentes selon les contextes, mais qui convergent vers une coresponsabilité reconnue et organisée, signe d’un avenir commun à construire. Le frère Antonio Botana a ensuite approfondi la réflexion autour de la transmission du charisme lasallien. Être prophètes d’espérance, a-t-il rappelé, « est un défi dans une époque troublée, un défi que nous pouvons relever ensemble, dans la mission partagée ». Reprenant la belle intuition de Gaudium et Spes, il a invité chacun à donner aux générations de demain des raisons de vivre, de croire et d’espérer. Jour 2 – De l’engagement au prophétisme Le lendemain, le père Raphaël Buyse a invité les participants à franchir un pas supplémentaire : « D’engagés à prophètes ou de prophètes à engagés. »« L’espérance, a-t-il souligné, n’est pas de s’illusionner que demain ira mieux, mais de croire que ce qui m’est donné aujourd’hui, je peux en faire quelque chose. » Son propos a trouvé une résonance profonde dans le cœur des fraternités : être prophète, c’est se tenir dans la brèche, là où la vie brûle et où surgit l’injustice. C’est choisir de voir ce que la société ne voit plus, de ramener de l’air frais, d’ouvrir des chemins nouveaux. Le prophète, a-t-il poursuivi, « n’est pas un rêveur du futur, mais un témoin du présent. Il aime le monde qu’il veut évangéliser. Il vit dans la poussière du quotidien et y révèle la présence de Dieu. » À l’image de saint Jean-Baptiste de La Salle, qui sut lire dans les fractures sociales de son temps un appel à la transformation, les membres des fraternités sont invités à raviver la flamme de l’espérance au cœur du monde. Des fraternités en marche Ce rassemblement a aussi été un temps d’interrogation personnelle et communautaire : « Pourquoi suis-je engagé dans la fraternité éducative La Salle ? Quel prophète suis-je ? Celui qui rebâtit les ruines anciennes ou celui qui restaure les fondations séculaires ? » Autant de visages, autant de réponses, mais un même souffle : celui de la mission.Car, comme l’a rappelé le frère Antonio Botana, « nous sommes la réelle présence du Christ dans le monde ». Être prophètes d’espérance, c’est donc pour le père Raphaël Buyse devenir regard, parole et oreille du Seigneur, au service de la vie. Loin d’être une simple rencontre, ce Rassemblement des fraternités 2025 a été un véritable pèlerinage intérieur et collectif, une invitation à renaître à la mission dans la lumière d’une espérance active et incarnée. Jour 3 – Repartir remplis d’espérance La notion d’espérance a été au centre des interventions du frère Antonio Botana et du père Raphaël Buyse. Bien conscient que la tâche n’est pas facile à notre époque, le premier a invité les participants à « être des signes d’espérance dans l’éducation d’aujourd’hui ». Porteurs du charisme lasallien, les éducateurs ont la mission de donner de l’espoir aux jeunes, de leur ouvrir les yeux, de leur apporter la libération et le bonheur. Le père Raphaël Buyse a quant à lui mis l’accent sur l’importance de la communauté : « Nous ne sommes jamais appelés tout seuls. Chacun répond au Seigneur mais nous sommes appelés ensemble. » Cet appel et le témoignage d’espoir d’une communauté toute entière qui porte la signature du Christ sont une force dans les établissements du réseau La Salle. Le frère Jean-René Gentric, visiteur provincial, a conclu ces trois jours par un message enthousiaste : les fraternités vivifient la spiritualité de ses membres, unis par la prière, elles les invitent à gagner les cœurs. « Les fraternités sont encouragées à se renforcer, à se vivifier (…). Et nous sommes conviés à favoriser l’ambiance fraternelle là où nous sommes. »     C’est donc remplis d’espérance et convaincus de la nécessité de la faire rayonner pour le salut des jeunes que les participants ont repris le chemin de leur établissement scolaire. La mission se poursuit pour les prophètes d’espérance !   https://www.youtube.com/watch?v=TKMklLk_HNUhttps://www.youtube.com/watch?v=Ps1KRNm24WI

Marseille – À Saint-Bruno La Salle, un héritage plus vivant que jamais

Au collège Saint-Bruno La Salle à Marseille, l’éducation chrétienne lasallienne n’est pas un vain mot : elle est un objectif permanent pour toutes les équipes, des enseignants aux services administratifs en passant par les éducateurs et les AESH. Avec un mantra : écouter pour mieux accompagner.

Dans le 4e arrondissement de Marseille, il existe une place remplie d’arbres sur laquelle veille une église imposante, où les étals s’étirent joyeusement les jours de marché et qui donne sur l’entrée du collège Saint-Bruno La Salle. Sans la présence de cette bouche de métro qui s’enfonce dans les entrailles de la cité phocéenne, on pourrait se croire dans un petit village provençal.

IA et enseignement : un outil incontournable mais encadré

L’intelligence artificielle (IA) a envahi silencieusement le monde de l’éducation par le biais des élèves. Face à ce constat, enseignants et instances publiques s’organisent pour ne pas se laisser dépasser et pour s’approprier cet outil puissant en toute conscience de ses limites.

86 % : c’est le pourcentage de jeunes qui utilisent l’IA dans le cadre de leurs études, dont plus de la moitié au moins une fois par semaine, selon une étude du Digital education council. Élisabeth Borne, la ministre de l’Éducation nationale, de l’enseignement supérieur et de la recherche, a donc annoncé lors du Sommet mondial de l’action sur l’IA en février dernier qu’une formation obligatoire à l’IA pour les élèves de 4e et de 2de entrerait en vigueur à la rentrée 2025. Face à ce déferlement d’une technologie nouvelle dans les usages des élèves, moins de 20 % des enseignants l’utilisent régulièrement dans leurs pratiques professionnelles. Comment le réseau La Salle se situe-t-il par rapport à ces problématiques ?

Education, recherche, spiritualité : l’ICP ouvre un nouveau centre universitaire avec les Frères des Écoles chrétiennes

l’ICP ouvre un nouveau centre universitaire

Un lieu de recherche pluridisciplinaire et de formation Pour parfaire l’éducation des jeunes, mais aussi pour former les formateurs et les maîtres, le monde universitaire a besoin de s’inscrire et s’ancrer dans une tradition. Et c’est chose faite avec la création du Centre universitaire Jean-Baptiste de La Salle (CJBS). Formation et recherche, voici les promesses que tiendra cette nouvelle institution lasallienne au sein même de l’Institut Catholique de Paris.Le réseau lasallien forme plus d’un million de jeunes dans 80 pays et le tiers sont des étudiants post bac basés principalement en Asie, en Afrique, en Amérique latine mais aussi au Moyen-Orient et en Europe. Il y avait comme une évidence à envisager un lieu universitaire où l’on marche ensemble dans le sillon du fondateur. Autrement dit, une école de la synodalité.Partenariats avec d’autres universités, travaux de recherche en sciences de l’éducation, sciences sociales, pédagogie…, telles sont les ambitions de ce centre universitaire qui sera dirigé par le frère André-Pierre Gauthier en septembre 2025. Le CJBS a pour vocation de faire rayonner la pensée éducative de saint Jean-Baptiste de La Salle et son héritage pédagogique. Il constitue un lieu de recherche interdisciplinaire, ouvert à l’international, qui croise sciences de l’éducation, théologie, philosophie, histoire et sociologie. Le Centre universitaire Jean-Baptiste de La Salle poursuit quatre objectifs : constituer un lieu de recherche universitaire sur la figure de Jean-Baptiste de La Salle, les frères des Écoles chrétiennes et leurs œuvres éducatives depuis 300 ans développer une offre de formation spécifique dans les domaines de l’éducation, de la pédagogie, de l’interculturel et de la catéchèse soutenir des programmes de recherche en lien avec la pensée lasallienne et les diffuser par des séminaires, des conférences et des publications nouer des partenariats avec les universités lasalliennes présentes sur les cinq continents Le CJBS propose déjà plusieurs formations : un master national Action éducative internationale et interculturelle deux diplômes universitaires : le DU Action sociale et migration et le DU Pédagogies actives Un master dédié à l’innovation pédagogique est déjà en préparation et doit ouvrir en 2026. En s’appuyant sur l’expertise du réseau lasallien, regroupant 1 100 établissements et 64 universités dans 80 pays, le centre entend devenir un acteur de référence pour penser l’éducation d’aujourd’hui. Amélie Joncheray – Responsable relations presse Lionel Fauthoux – Communication La Salle France éducation

À Saint-Avold, une harmonie musicale et solidaire

À Saint-Avold, une harmonie musicale et solidaire

Depuis plusieurs années, l’établissement Sainte-Chrétienne La Salle de Saint-Avold, en Moselle, organise un concert qui mêle engagement et musique. Cet événement, programmé cette année les 6 et 7 juin prochains, rassemble élèves, professeurs, associations et un établissement voisin pour transformer le talent des jeunes en levier de solidarité.   Sous la direction des professeurs de musique Laurie Houlle et Nicolas Trinkwell, et sous l’œil expert d’Elsa Ralite, professeure d’anglais, 150 élèves travaillent depuis septembre à un spectacle exceptionnel : School’s out, qui nous plonge dans l’univers d’un collégien et explore ses émotions, ses défis et ses rêves. À travers une sélection de chansons variées, allant des tubes actuels aux classiques intemporels, français et internationaux, le concert offre une réflexion musicale inspirante. Tous les niveaux de classe sont impliqués dans la chorale qui compte 90 élèves, de la 6e à la 3e. Un chiffre 2,5 fois plus élevé que la moyenne nationale en collège ! Le projet fonctionne sur la base du volontariat et offre à certains élèves l’opportunité de se proposer en tant que solistes et de choisir le morceau qu’ils désirent interpréter en soumettant leur candidature aux professeurs. Ceux qui ont déjà une expérience musicale peuvent aussi intégrer le groupe en tant que musiciens sur un ou plusieurs morceaux. Les anciens élèves, devenus des piliers essentiels de cette aventure, contribuent activement à sa pérennité et à son succès. C’est le cas d’André, un musicien aux multiples talents : il est aujourd’hui un acteur-clé du projet et transmet son expertise aux nouvelles générations. Un impact tangible, un message universel Les bénéfices des concerts dépassent largement les murs de l’auditorium. L’an dernier, 6 000 euros ont été collectés pour des projets internationaux : le parrainage d’enfants au Bénin et la construction d’une école au Togo. Ils montrent ainsi comment une initiative locale peut avoir des répercussions positives à l’échelle mondiale. Cette année, la Guyane et l’association Enfants cancers santé de Bouzonville, en hommage à l’amie d’une élève, seront mises à l’honneur. En assistant à la représentation de School’s out les 6 et 7 juin 2025 au théâtre de Forbach, le public soutiendra à nouveau les projets de l’établissement Sainte-Chrétienne La Salle. Car la musique va bien au-delà du divertissement : elle est un langage universel capable de toucher les cœurs et de rassembler autour d’une cause commune. Les spectateurs ressortent du concert transformés, portés par une énergie collective et une volonté d’agir pour un monde plus juste. Ensemble, faisons résonner les accords de la solidarité pour bâtir un avenir plus lumineux ! Claudia Ordener Crédit photo : Joan Richard/Aperture Pixel

« je vous exhorte à approfondir et à imiter sa passion pour les plus petits et pour ceux qui sont rejetés » Pape François

Discours du Pape – mai 2019
Chers frères et sœurs,
Je vous souhaite la bienvenue, à vous qui représentez toute la famille spirituelle fondée par saint Jean-Baptiste de La Salle, à l’occasion du troisième centenaire de sa mort. Je salue et je remercie Frère Robert Schieler, Supérieur général ; j’adresse mes salutations affectueuses à chacun de vous et je voudrais qu’elles parviennent à tous les Frères des Écoles chrétiennes qui œuvrent dans l’Église avec générosité, com-pétence et une adhésion fidèle à l’Évangile.

RESOGEC 2025, répondre aux attentes éducatives de notre société

Ce premier week-end de printemps est l’occasion de vivre un temps fort sur les terres lasalliennes. En effet, 160 personnes composées de présidents d’OGEC, de chefs d’établissement, de responsables nationaux se sont retrouvés autour du frère provincial pour le fameux RESOGEC national qui se déroule tous les 3 ans à Paris

Amitié franco-libanaise – Opération Carême 2025

careme la salle liban

Amitié franco-libanaise Opération Carême 2025 Message aux chefs d’établissement et aux membres des communautés éducatives des établissements du réseau La Salle France. Madame, Monsieur, Comme vous le savez probablement, une Cellule franco-libanaise, composée de neuf membres, cinq Français et quatre Libanais, animée par Jean Chapuis, se retrouve régulièrement à distance depuis plus d’un an pour échanger des informations, élaborer et accompagner des projets, amicaux, pédagogiques, solidaires, qui relient les établissements du réseau La Salle France et ceux  du secteur Liban. Je viens vous informer que le secteur Liban a réalisé une vidéo destinée à faire découvrir les sept établissements libanais, faire comprendre la réalité de la situation à laquelle sont confrontés les élèves, les communautés éducatives mais aussi leurs craintes, leurs projets et leur espérance. Cette proposition vient à point pour introduire des opérations de Carême et leur donner du sens en manifestant l’unité de la famille lasallienne pour la mission éducative.  Vous pouvez télécharger cette vidéo depuis le site lasallefrance.fr en choisissant “Liban”  sur la page de solidarité internationale qui propose aussi des ressources pédagogiques. Et pour ceux qui souhaitent en savoir plus, la Cellule franco-libanaise propose d’échanger à distance avec le frère André-Pierre Gauthier (responsable de la mission lasallienne au Liban) et Walid Abboud (maître de conférence) sur deux créneaux au choix : mardi 18 mars et mercredi 19 mars à 16h. Lien de connexion : https://us02web.zoom.us/j/86405538810 Je vous remercie de l’attention que vous porterez à ce message tout en étant conscient que d’autres projets de soutien puissent vous tenir à cœur. La précarité actuelle du réseau des établissements lasalliens du secteur Liban nécessite une attention particulière pour permettre à un maximum de jeunes libanais de bénéficier d’une éducation de qualité et par la même, trouver les ressources pour maintenir l’immobilier, accompagner le renouvellement pédagogique et l’homologation française des établissements. Je remercie la Cellule franco-libanaise pour son investissement, et m’associe à elle dans l’assurance de ses sentiments les plus fraternels. Frère Jean-René Gentric Visiteur de France et d’Europe francophone * La Cellule franco- libanaise est composée de : Walid ABBOUD – Libanais, retraité de La Salle St Etienne, intervenant en histoire et géopolitique à l’université Jean CHAPUIS – retraité, ex délégué aux oeuvres d’éducation Raphaëlle HANNEZO – CE La Salle Sacré-Coeur à Nantes. Fr André-Pierre GAUTHIER – chargé du suivi des écoles lasalliennes du Liban Claire LALOI – APS La Salle Nîmes, co-présidente de l’association ASEL Claire SAID – CE Notre Dame à Beyrouth Fadi TOUMA – Directeur du Lycée de Deddeh Michel YAZBEK – Directeur du Collège Saint Pierre – Baskinta Nadine ZAMITH – CE La Rochefoucauld Paris

L’IA au service de l’humain

Apprentissage de l'ia à Issy les Moulineaux avec le robot NAO

Pour la 2e année consécutive, des lycéens de l’établissement lasallien d’Issy-les-Moulineaux et des étudiants de l’Isep ont participé à un hackathon. Répartis en équipes mixtes, ils ont couru ce marathon de programmation informatique les 13 et 14 janvier 2025. Deux journées intenses et formatrices. C’est l’effervescence dans les locaux de l’entreprise Aldebaran : 60 jeunes venus de l’ensemble scolaire Saint-Nicolas La Salle et de l’Isep, une école d’ingénieur spécialisée dans le numérique, participent à un hackathon. Objectif de la compétition : créer un assistant virtuel afin d’aider un élève en difficulté ou une personne âgée dans le suivi de sa santé. Dans le brouhaha des idées qui fusent, les équipes s’activent sur les ordinateurs, les téléphones et les tablettes, et interpellent Nao qui trône au milieu de chaque table. « Nao est le robot humanoïde historique d’Aldebaran. À partir d’un prompt, c’est-à-dire un texte qu’on lui soumet, il recherche via l’IA toutes les ressources dont il a besoin pour endosser le rôle qu’on lui assigne, explique Émilie Lottiaux, responsable développement RH de l’entreprise. Il en adoptera le ton et l’attitude. » Explorer les champs de l’IA Bien entendu, les jeunes se sont en amont familiarisés avec Nao au cours de quatre mercredis après-midi, sous la supervision de Stéphanie Brozyna, professeure en maintenance industrielle qui pilote le projet. « Ils ont fait des exercices pour apprendre à prompter Nao. L’idée de l’hackathon d’aujourd’hui est d’aller plus loin… », souligne-t-elle. Chacun s’affaire à la finalisation du projet d’équipe : les uns testent une dernière fois Nao, les autres bouclent leur vidéo de présentation. Tous sont emballés par cette expérience de programmation informatique. « C’est très sympa de travailler ensemble sur un même sujet, il y a une bonne ambiance, observe Lukas, un élève en 1re maintenance des systèmes de production connectés. En MSPC, on commande des machines à distance, on fait des dépannages… Ici, je découvre l’IA », ajoute-t-il. Après le déjeuner, les jeunes prennent place sur les gradins d’une vaste pièce. S’ensuivent présentations des projets et échanges avec un jury composé de professeurs de Saint-Nicolas La Salle, de l’Isep, d’un inspecteur de l’Éducation nationale et de salariés d’Aldebaran. Le profil du groupe gagnant se dessine, les délibérations le confirment : Rufus, Moulaye, Teddy, Xavier, Linfeng et Jean-Michel remportent les suffrages. Leur assistant virtuel, capable, entre autres choses, de repérer, de corriger et d’expliquer les fautes d’un élève dys. grâce à un stylo connecté a conquis les professionnels. Leur travail et leur inventivité seront plus tard salués par Michel Quinton, chef de l’établissement lasallien, et le maire de la commune. « Cet après-midi, c’est votre intelligence et votre esprit d’équipe qui sont mis à l’honneur », a souligné André Santini. Face à l’enthousiasme des jeunes et des adultes impliqués dans le projet, il y a fort à parier que Stéphanie Brozyna s’engagera dans l’édition 2026 de l’hackathon Isep-La Salle. Laurence Pollet Crédit photo : Laurence Pollet  

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