Foi, fraternité, service
Vous avez très certainement entendu parler du pèlerinage du Rosaire, sans savoir vraiment de…
La congrégation des Frères des écoles chrétiennes, fondée par saint Jean-Baptiste de La Salle, est composée de religieux non prêtres qui vivent en communauté et consacrent leur vie à Dieu et à l’éducation des jeunes. Aujourd’hui, les frères œuvrent dans 79 pays auprès d’un million de jeunes.
L’engagement des frères doit être cohérent avec la promesse de vivre une consécration religieuse et associé à la volonté de Dieu d’être des hommes célibataires et pauvres.
Dans leur vie, les frères :
À la suite de saint Jean-Baptiste de La Salle, les frères des Écoles chrétiennes sont aujourd’hui une présence de l’Église évangélisatrice dans le monde de l’éducation.
Attentifs en premier lieu aux nécessités éducatives des pauvres, frères et laïcs créent, renouvellent et diversifient leurs œuvres. Dans leur action éducative, les frères cherchent à conjuguer l’effort de progrès culturel avec l’annonce de la parole de Dieu.
La mission éducative lasallienne est présente à travers de nombreuses œuvres d’éducation : des établissements scolaires primaires, secondaires et d’enseignement supérieur ainsi que des propositions éducatives adaptées (camions-école, groupes de remédiation…) et des centres d’accueil.
« Dieu est si bon, qu’ayant créé les hommes, il veut que tous soient sauvés et il ne peut le vouloir véritablement sans donner aux enfants des maîtres qui contribuent, à leur égard, à l’exécution de ce dessein. »
Pour Jean-Baptiste de La Salle, notre travail pédagogique et éducatif peut donc devenir une réponse concrète à cet appel de Dieu, chemin d’une aventure spirituelle guidée par la force et la lumière de l’Esprit Saint.
Jean-Baptiste de La Salle a puissamment contribué à la démocratisation de l’enseignement, à la rénovation de l’école, à la transformation de la relation éducative, en fondant sur l’Évangile une fraternité de laïcs consacrés à Dieu dans le service de la jeunesse abandonnée.
Réciproquement, Jean-Baptiste de La Salle n’a pas élaboré une spiritualité abstraite et déductive. Il part de la vie même de ses frères. Il les rejoint dans leurs situations concrètes, les soucis quotidiens de leur métier, et surtout le tissu vivant de leur relation avec les jeunes. Il les aide à entrer dans la profondeur mystique de leur ministère. Par leur action, c’est l’œuvre de Dieu, c’est le salut de Jésus-Christ qui s’actualise pour ces « enfants qui leur sont confiés ». L’avenir de l’école chrétienne va dépendre, pour une part de plus en plus importante, de la valeur professionnelle et de l’inspiration évangélique.
La spiritualité à la fois biblique et concrète de saint Jean-Baptiste de La Salle est source de vie intérieure pour les frères des Écoles chrétiennes et les laïcs associés.
Le concile Vatican II a remis en valeur la vocation baptismale en affirmant que la sainteté et la participation à la mission de l’Église concernent tous les chrétiens. Pour autant, l’appel aux vocations sacerdotales et religieuses continue de retentir au sein du peuple chrétien.
Une vocation est un appel de Dieu. Elle est mystérieuse, parfois inexplicable. C’est un chemin de vie. À travers les activités au service des plus pauvres et des défavorisés, la vie communautaire et spirituelle du frère éducateur et l’évangélisation dans un cadre éducatif peuvent incarner l’appel de Dieu. Aujourd’hui, la mission des frères se prolonge dans l’engagement des jeunes qui leur sont confiés.
Le concile Vatican II a remis en valeur la vocation baptismale en affirmant que la sainteté et la participation à la mission de l’Église concernent tous les chrétiens. Pour autant, l’appel aux vocations sacerdotales et religieuses continue de retentir au sein du peuple chrétien.
Une vocation est un appel de Dieu. Elle est mystérieuse, parfois inexplicable. C’est un chemin de vie. À travers les activités au service des plus pauvres et des défavorisés, la vie communautaire et spirituelle du frère éducateur et l’évangélisation dans un cadre éducatif peuvent incarner l’appel de Dieu. Aujourd’hui, la mission des frères se prolonge dans l’engagement des jeunes qui leur sont confiés.
Le concile Vatican II a remis en valeur la vocation baptismale en affirmant que la sainteté et la participation à la mission de l’Église concernent tous les chrétiens. Pour autant, l’appel aux vocations sacerdotales et religieuses continue de retentir au sein du peuple chrétien.
Une vocation est un appel de Dieu. Elle est mystérieuse, parfois inexplicable. C’est un chemin de vie. À travers les activités au service des plus pauvres et des défavorisés, la vie communautaire et spirituelle du frère éducateur et l’évangélisation dans un cadre éducatif peuvent incarner l’appel de Dieu. Aujourd’hui, la mission des frères se prolonge dans l’engagement des jeunes qui leur sont confiés.
La joie de vivre pour et avec les jeunes, prioritairement les plus défavorisés.
Le désir ardent de contribuer à un monde meilleur et de collaborer à l’œuvre de Dieu qui veut que tous soient sauvés.
L’envie d’être heureux dans une vie qui intègre quête de Dieu, vie fraternelle et éducation des jeunes.
Le vœu intime de suivre le Christ dans le don de soi-même pour les autres et en communauté.
La disponibilité de se laisser façonner par le vivre ensemble, le partage de la parole de Dieu et du regard du chrétien sur le monde.
Le désir de partager l’expérience de Dieu au cœur de la transformation sociale.
L’enthousiasme à l’idée d’annoncer l’Évangile avec des laïcs qui attendent des témoins et des compagnons de route.
La disponibilité à suivre une formation en vue de devenir enseignant ou éducateur.
Une appétence pour l’éducation et la croissance globale de la personne.
Le désir d’innover et d’imaginer des systèmes éducatifs souples et créatifs pour des populations de jeunes en souffrance et oubliés des systèmes établis.
Jean-Baptiste de La Salle a été conduit à fonder une communauté d’hommes qui, éclairés par Dieu et communiant à son dessein salvifique, se sont associés en vue de répondre aux besoins d’une jeunesse pauvre et loin du salut.
Aujourd’hui encore, toute communauté de frères puise en cet événement ses motivations fondamentales.
Les frères s’inspirent de la prière de Jésus-Christ : « Père, qu’ils soient un comme toi et moi sommes un, afin que le monde croie que tu m’as envoyé. » La communauté est une médiation de la consécration des frères à Dieu.
C’est une communauté de foi où les frères partagent leur expérience de Dieu, vécue dans les engagements quotidiens et l’écoute de la parole de Dieu, dans la prière personnelle et communautaire, dans la lecture des signes des temps et le discernement de la volonté de Dieu.
Non, bien sûr. Nous sommes des personnes libres. Prendre contact, c’est poser une question, chercher à s’informer, communiquer sur un sujet qui nous intéresse. Et si cette communication ouvre sur une réflexion plus approfondie concernant votre avenir, nous pourrons librement poursuivre la conversation.
Ce sont deux vocations spécifiques et distinctes.
– Le prêtre est ordonné par l’évêque et en est le collaborateur direct. Il est pasteur d’une partie du peuple de Dieu, il transmet la vie de Dieu par les sacrements, annonce la parole, anime et conduit le peuple qui lui est confié.
– Le frère vit son baptême dans la consécration à Dieu. Il vit en communauté et se consacre à l’enseignement et plus largement aux métiers de l’éducation. Il s’efforce de développer la dimension fraternelle dans ses relations avec les autres frères, les collègues laïques et les jeunes qu’il éduque.
En donnant toute sa vie par la consécration, le frère se rend entièrement disponible à la mission qui lui est confiée : c’est l’obéissance.
Il met tout le produit de son travail en commun avec ses frères et mène une vie simple et sobre : c’est la pauvreté.
Il fait don de toute sa personne à Dieu en étant disponible pour aimer toute personne, sans en privilégier une seule ou avoir ses propres enfants : c’est la chasteté.
Il s’associe aux autres frères par le vœu d’association et à ses collègues dans le système éducatif pour tenir et animer des établissements divers et constituer un groupe stable de personnes. C’est le vœu de stabilité.
Certes, l’État assure que tous les enfants du pays soient instruits et éduqués par le développement et le contrôle des programmes et la gestion des personnels.
Mais les intentions des fondateurs des écoles catholiques vont bien au-delà. Les communautés religieuses en éducation, avec les nombreux laïcs partenaires, veulent aussi « dire Dieu » par leur présence, par la communauté identifiable des chrétiens dans l’école et par l’annonce de l’Évangile.
Chez les lasalliens, c’est la dimension de fraternité qui doit être vécue et promue.
Le frère s’engage pour toujours par des vœux dits « perpétuels ». Cette étape est atteinte après un long discernement, plusieurs années de vie communautaire et une formation longue, spirituelle et professionnelle. Comme les autres chrétiens, le frère est conscient de ses limites et de ses faiblesses, mais il dit « oui » au Seigneur qui lui est toujours fidèle.
C’est la qualité de vie des frères qui compte avant tout et rend leur engagement visible : vie spirituelle, zèle dans la mission éducative, vie communautaire, fraternité partagée.
Les frères ont un habit officiel qui est plus ou moins porté selon les pays, les cultures et l’histoire de leur Église locale. En France, il n’est porté qu’en certaines circonstances par les frères. Dans d’autres pays, on le porte régulièrement. Dans le contexte actuel de nos sociétés, les signes et le vêtement ont leur importance, en particulier quand il convient que les frères soient identifiés comme communauté de consacrés.
Il existe deux congrégations de sœurs lasalliennes :
– les Sœurs guadaloupaines de La Salle (Hermanas Guadalupanas La Salle), fondées au Mexique en 1946 et actuellement présentes dans dix pays
– les La Salle Sisters du Vietnam, de création plus récente, et qui sont aussi implantées en Thaïlande et en Californie. Elles se réfèrent à saint Jean-Baptiste de La Salle, partagent la spiritualité lasallienne et se consacrent à l’éducation.
Il existe aussi des congrégations proches des Frères des écoles chrétiennes par leur mission éducative ou les intentions de leur fondateur.
La communauté doit se montrer attentive afin de permettre à chaque frère de disposer d’un temps quotidien pour la prière, de préférence communautaire. Eucharistie, offices du matin et du soir, oraison (ou méditation personnelle), lecture spirituelle structurent la journée autant qu’il est possible.
Plusieurs possibilités :
– par la lecture de la brochure sur notre vocation
– par la lecture d’autres ouvrages lasalliens que l’on peut commander à communication@lasallefrance.fr
– par la découverte d’une communauté au cours de quelques jours de visite ou la rencontre avec d’autres jeunes en recherche et qui s’intéressent à la vocation de frère
– par le partage de la mission d’une communauté de frères sur une année comme étudiant ou jeune volontaire lasallien
– en contactant le frère délégué aux vocations qui pourra vous accompagner dans une démarche de discernement : vocationsfec@gmail.com
Depuis des décennies, des laïcs s’associent aux frères pour partager la mission. En France, cela se traduit par l’existence des équipes de la Fraternité Educative La Salle.
Le mouvement de spiritualité Signum Fidei et des mouvements ou groupes de jeunes qui partagent la mission (comme les Jeunes lasalliens ou les Volontaires lasalliens) existent aussi. Pour en savoir plus, consulter le site international www.lasalle.org
Des associations d’anciens élèves se regroupent au sein d’une union mondiale : l’Union mondiale des anciens élèves lasalliens (UMAEL).
communauté de gouvernement
Les 25 de chaque mois
Notre vocation de Frères nous associe au Dieu vivant, manifesté en Jésus-Christ, pour continuer son œuvre de salut.
Le district en chiffres
Vous avez besoin d’une information concernant un de nos établissements ? N’hésitez pas à nous contacter et nous vous répondons !
Vous avez très certainement entendu parler du pèlerinage du Rosaire, sans savoir vraiment de…
L’ambition du réseau Campus La Salle est de permettre à chaque étudiant de développer…
L’Université Lasallienne d’Automne est un temps fort biannuel dans le calendrier lasallien.