• À propos
    • La Fondation
      • La Fondation
      • Saint Jean-Baptiste de La Salle
      • Le Projet Éducatif Lasallien
      • Frères des Écoles Chrétiennes
      • Fraternité éducative La Salle
      • Mission Éducative Lasallienne
    • Pôle Animation Formation
      • Parcours d’Education à la Justice
      • Relations à l’international
      • Animation pastorale scolaire
    • Actualités
  • Etablissements
    • Ecoles, Collèges, Lycées
    • Post Bac
    • Centres de Formation
    • Centres d’accueils
  • Vous êtes…
    • Parents
    • Étudiants
    • Membre du réseau
    • En recherche de spiritualité
  • Contact
  • Recherche
  • Faire un don

  • À propos
    • La Fondation
      • La Fondation
      • Saint Jean-Baptiste de La Salle
      • Le Projet Éducatif Lasallien
      • Frères des Écoles Chrétiennes
      • Fraternité éducative La Salle
      • Mission Éducative Lasallienne
    • Pôle Animation Formation
      • Parcours d’Education à la Justice
      • Relations à l’international
      • Animation pastorale scolaire
    • Actualités
  • Etablissements
    • Ecoles, Collèges, Lycées
    • Post Bac
    • Centres de Formation
    • Centres d’accueils
  • Vous êtes…
    • Parents
    • Étudiants
    • Membre du réseau
    • En recherche de spiritualité
  • Contact
  • Faire un don
28 août 2017
Partager sur
Facebook Twitter Email
Actualités Évangile du jour

Mardi 29 août « Je veux que, tout de suite, tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste » (Mc 6, 17, 29)

Évangile du jour : « Je veux que, tout de suite, tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste » (Mc 6, 17, 29)

Mardi 21ème semaine du temps ordinaire – Martyre de Saint Jean-Baptiste

En ce temps-là, Hérode avait donné l’ordre d’arrêter Jean le Baptiste et de l’enchaîner dans la prison, à cause d’Hérodiade, la femme de son frère Philippe, que lui-même avait prise pour épouse. En effet, Jean lui disait : « Tu n’as pas le droit de prendre la femme de ton frère. » Hérodiade en voulait donc à Jean, et elle cherchait à le faire mourir. Mais elle n’y arrivait pas parce que Hérode avait peur de Jean : il savait que c’était un homme juste et saint, et il le protégeait ; quand il l’avait entendu, il était très embarrassé ; cependant il l’écoutait avec plaisir. Or, une occasion favorable se présenta quand, le jour de son anniversaire, Hérode fit un dîner pour ses dignitaires, pour les chefs de l’armée et pour les notables de la Galilée. La fille d’Hérodiade fit son entrée et dansa. Elle plut à Hérode et à ses convives. Le roi dit à la jeune fille : « Demande-moi ce que tu veux, et je te le donnerai. » Et il lui fit ce serment : « Tout ce que tu me demanderas, je te le donnerai, même si c’est la moitié de mon royaume. » Elle sortit alors pour dire à sa mère : « Qu’est-ce que je vais demander ? » Hérodiade répondit : « La tête de Jean, celui qui baptise. » Aussitôt la jeune fille s’empressa de retourner auprès du roi, et lui fit cette demande : « Je veux que, tout de suite, tu me donnes sur un plat la tête de Jean le Baptiste. » Le roi fut vivement contrarié ; mais à cause du serment et des convives, il ne voulut pas lui opposer un refus. Aussitôt il envoya un garde avec l’ordre d’apporter la tête de Jean. Le garde s’en alla décapiter Jean dans la prison. Il apporta la tête sur un plat, la donna à la jeune fille, et la jeune fille la donna à sa mère. Ayant appris cela, les disciples de Jean vinrent prendre son corps et le déposèrent dans un tombeau.

 

Suggestion :

Aux sources de la liberté

Au cours de ce long récit du martyre du Baptiste apparaissent déjà les mots qui évoqueront plus tard la Passion du Christ : lui aussi sera arrêté, lié, tué, déposé dans un tombeau. Jusqu’à son dernier jour Jean annonce et préfigure le messie – par toute sa vie.

Dans cette sombre histoire où la vie du prophète a tout juste le prix d’un banquet somptueux et d’une danse enivrante une autre figure reste dans l’ombre : Hérode. Intrigué, intérieurement déchiré, esclave du regard des autres, il est paradoxalement le contraire de l’homme libre qu’est Jean son prisonnier. Il l’avait fait arrêter, le craignant et pourtant le protégeant, sachant que c’était un homme juste et saint. Ce roi est la figure tragique de l’homme qui piétine sa propre conscience, sa liberté. Car être libre ne consiste pas tant à faire ce qu’on veut qu’à vouloir ce qu’on fait, et c’est au plus profond de soi qu’on touche aux sources de la liberté. Liberté non pas de donner la mort mais de se donner, quel qu’en soit le prix. Hérode, vivement contrarié, se voit contraint de prononcer une sentence qu’il n’approuve pas. Jésus, en silence, souverainement libre, s’avancera un jour devant le même Hérode, vers sa Passion volontaire. Voici la liberté. Voici l’homme.

 

Sur le site des Fraternités de Jérusalem

 

Liens utiles :

AELF

Prions en Eglise

Texte complet

St Jean-Baptiste
de La Salle

Frères des écoles
chrétiennes

Fraternité
Éducative La Salle

    INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER

    *

    Découvrez le projet éducatif lasallien à travers des ouvrages spécialisés
    ou en vous abonnant au magazine La Salle Liens


    Boutique
    Abonnements

    Évangile du jour

    « Travaillez non pas pour la nourriture qui se perd, mais pour la nourriture qui demeure jusque dans la vie éternelle » (Jn 6, 22-29)

    St Jean-Baptiste
    de La Salle

    Frères des écoles
    chrétiennes

    Fraternité
    Éducative La Salle

      INSCRIVEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER

      *

      Découvrez le projet éducatif lasallien à travers des ouvrages spécialisés
      ou en vous abonnant au magazine La Salle Liens


      Boutique
      Abonnements




      • Contact
      • Mentions légales
      • Plan du site

      © LA SALLE FRANCE - 2016