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2 juillet 2018
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Actualités Évangile du jour

Mardi 2 juillet 2018 : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » (Jn 20, 24-29)

Évangile du jour : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » (Jn 20, 24-29)

Mardi Saint Thomas apôtre – Fête

L’un des Douze, Thomas (dont le nom signifie : Jumeau), n’était pas avec eux quand Jésus était venu. Les autres disciples lui disaient : « Nous avons vu le Seigneur ! » Mais il leur déclara : « Si je ne vois pas dans ses mains la marque des clous, si je ne mets pas mon doigt à l’endroit des clous, si je ne mets pas la main dans son côté, non, je ne croirai pas ! » Huit jours plus tard, les disciples se trouvaient de nouveau dans la maison, et Thomas était avec eux. Jésus vient, alors que les portes étaient verrouillées, et il était là au milieu d’eux. Il dit : « La paix soit avec vous ! » Puis il dit à Thomas : « Avance ton doigt ici, et vois mes mains ; avance ta main, et mets-la dans mon côté : cesse d’être incrédule, sois croyant. » Thomas lui dit alors : « Mon Seigneur et mon Dieu ! » Jésus lui dit : « Parce que tu m’as vu, tu crois. Heureux ceux qui croient sans avoir vu. »

 

Suggestion :

Une adoration authentique

 

À la fi n de l’Évangile selon saint Matthieu, l’apparition du Christ ressuscité frappe les disciples présents à tel point qu’ils tombent à genoux devant lui dans un geste d’adoration. L’évangéliste note que « certains cependant doutèrent » (Matthieu 28, 17). Au sommet de l’Évangile il est donc clair que Dieu ne s’impose pas et ne force personne. Chacun se tient là dans sa liberté, aussi celui qui hésite. Trouver côte à côte l’adoration et le doute peut nous aider à mieux comprendre et l’adoration et la foi. L’adoration n’est pas ce qu’on imagine souvent, un prosternement forcé comme si l’on se trouvait devant une puissance tellement supérieure qu’on n’avait qu’à céder et à se courber. Elle ne se confond pas non plus avec un geste rituel qui peut rester très extérieur. Même si elle s’exprime de préférence par un mouvement du corps (dans la Bible : mettre le front contre le sol), elle vient de l’intérieur, comme le récit de l’aveugle-né nous l’a bien montré. Cet homme qui peut enfin voir n’a plus besoin de regarder Jésus, dans la mesure où sa guérison l’éclaire au-dedans et il se prosterne (Jean 9). Thomas, lui non plus, n’a plus besoin de toucher les plaies. Se savoir reconnu dans son doute dépasse toute constatation matérielle. Ce qui jaillit alors de lui n’est qu’adoration (Jean 20). Ailleurs dans l’Évangile selon saint Jean, Jésus parle d’une adoration « dans l’Esprit et dans la vérité » (Jean 4, 23-24). L’expression « en Esprit » veut dire premièrement : selon la nature spirituelle de Dieu – Dieu est Esprit –, donc sans être lié à tel ou tel lieu particulier ni à telle ou telle représentation extérieure. Mais l’expression ne peut pas ne pas vouloir dire également que cette adoration est animée de l’intérieur par l’Esprit, par cet Esprit qui nous accorde intérieurement à Dieu. Et si « dans la vérité » indique sûrement une opposition à toute connaissance encore imparfaite concernant Dieu, on ne peut pourtant pas exclure l’idée que dans cette expression la vérité soit aussi celle dont l’être humain est intimement convaincu. Il s’agira d’une adoration authentique qui sera intérieurement ressentie comme légitime et en rien forcée.

 

Frère François (Taizé), Je crois, soutiens mon manque de foi, cahier de Taizé #1, Taizé, 2007, p.20-21

 

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